This is a women women world
"Elle est pas foutue de contrôler son mari, et elle voudrait diriger le pays ...".
Cette réflexion courante que l'on entend sortir de la bouche des mâles ricains, cache, sous une construction grammaticale sexiste, un douloureux constat d'échec.
L'homme est devenu à ce point portion congrue, qu'il n'envisage d'autres possibilités que d'être "contrôlé" par sa rugueuse moitié.
Si Bill se fait sucer dans le bureau ovale, ce n'est pas parce qu'il a une libido débordante, ni parce que Monica est une salope ambitieuse, non non, c'est parce que Hillary ne le "contrôle" pas.
Cet argument, pour le moins fallacieux, est néanmoins implicitement accepté par bon nombre de mâles, et pour cause.
Si Hillary était élue, ce ne serait rien de plus qu'une belle illustration de ce que les USA sont en train de devenir : une société matriarcale.
Le pouvoir castrateur de la femme libérée et en colère prend ici des tournures inquiétantes, après avoir conquis le droit au travail, le droit de vote, le droit a la contraception, aux loisirs, au partage des taches ménagères, a la jouissance, bref, après avoir obtenu une égalité (y compris au niveau des salaires, ce qui n'est pas le cas en France) revendiquée par quelques lesbiennes frigides depuis un siècle, les femmes américaines se retrouvent comme des connes.
Elles ont dépossédé leur mari de son identité virile, et sont désormais mariée a une lopette un peu perdue qui ne trouve consolation que dans le superbowl et la budweiser (une fois la vaisselle finie bien sur). Ces idiotes n'avaient pas pensé que prendre des responsabilités traditionnellement masculines féminiserait les reproducteurs, la testostérone ne se multipliant pas, elle se partage.
Evidement, depuis que le mâle est une espèce en voie de disparition, l'américaine s'énerve, traite son mari comme la chiffe molle qu'elle a créée, et cherche un amant, si possible alcoolique, violent, ou français ;)....
Mesdames, ne vous mèprenez pas, je ne dis pas que l'homme est supérieur, ou que la femme est inférieure, je dis juste qu'il y a une différence, et qu'elle se respecte pour le mieux de chacun.
Certes, il était temps que le clitoris fasse son apparition dans les manuels scolaires, mais il n'y a aucune raison de le vouloir à tout prix phallique. A ce petit jeux, les européennes s'en sortent un peu mieux, et continuent benoitement a cultiver leur féminité.
Ici, ce n'est plus le cas, et le résultat, c'est le bordel.
Malgré une présence religieuse qui frise le fanatisme généralisé, le taux de divorce est impressionnant et je ne connais AUCUN américain(e), enfin Kentuckian, de plus de quarante ans qui ne se soit marié qu'une fois et vive toujours avec son élu(e).
Le brouillage des caractères sexuels et la confusion qu'il entraine ne sont d'ailleurs, je pense, pas étranger au traditionalisme ambiant. Je sais pas si vous avez remarqué, mais les neocons font une fixette sur l'homosexualité, alors que les exemples de télévangélistes ou politiciens républicains retrouvés dans des positions extravagantes avec de jeunes hommes musculeux sont légion. Cette haine affichée du pédé tient lieu de grigri, et est la dernière balustrade a laquelle s'accrocher avant de se faire enfiler par un marin grec. Je vous le dit, l'homme est ici en perdition, se raccroche comme il peut a des doctrines plus rigides que sa queue, qualifie tout ce qui est faible ou ridicule de "gay", et se retrouve a sucer du brésilien. Evidement, ça fait pas un peu chier Madame, mais après tout, elle l'a bien cherché.
Alors, toi, amie lectrice francophone, continue à acheter des crèmes de jouvence ridicules a un prix exorbitant, continue à courir les soldes dans tes petites chaussures à talons qui te font mal aux pieds, continue à sourire au flic qui te dresse un PV (et d'ailleurs, continue à conduire comme une tortue aveugle), et puis arrête de casser les noix a ton conjoint, il en va de la survie de l'espèce.
Cette réflexion courante que l'on entend sortir de la bouche des mâles ricains, cache, sous une construction grammaticale sexiste, un douloureux constat d'échec.
L'homme est devenu à ce point portion congrue, qu'il n'envisage d'autres possibilités que d'être "contrôlé" par sa rugueuse moitié.
Si Bill se fait sucer dans le bureau ovale, ce n'est pas parce qu'il a une libido débordante, ni parce que Monica est une salope ambitieuse, non non, c'est parce que Hillary ne le "contrôle" pas.
Cet argument, pour le moins fallacieux, est néanmoins implicitement accepté par bon nombre de mâles, et pour cause.
Si Hillary était élue, ce ne serait rien de plus qu'une belle illustration de ce que les USA sont en train de devenir : une société matriarcale.
Le pouvoir castrateur de la femme libérée et en colère prend ici des tournures inquiétantes, après avoir conquis le droit au travail, le droit de vote, le droit a la contraception, aux loisirs, au partage des taches ménagères, a la jouissance, bref, après avoir obtenu une égalité (y compris au niveau des salaires, ce qui n'est pas le cas en France) revendiquée par quelques lesbiennes frigides depuis un siècle, les femmes américaines se retrouvent comme des connes.
Elles ont dépossédé leur mari de son identité virile, et sont désormais mariée a une lopette un peu perdue qui ne trouve consolation que dans le superbowl et la budweiser (une fois la vaisselle finie bien sur). Ces idiotes n'avaient pas pensé que prendre des responsabilités traditionnellement masculines féminiserait les reproducteurs, la testostérone ne se multipliant pas, elle se partage.
Evidement, depuis que le mâle est une espèce en voie de disparition, l'américaine s'énerve, traite son mari comme la chiffe molle qu'elle a créée, et cherche un amant, si possible alcoolique, violent, ou français ;)....
Mesdames, ne vous mèprenez pas, je ne dis pas que l'homme est supérieur, ou que la femme est inférieure, je dis juste qu'il y a une différence, et qu'elle se respecte pour le mieux de chacun.
Certes, il était temps que le clitoris fasse son apparition dans les manuels scolaires, mais il n'y a aucune raison de le vouloir à tout prix phallique. A ce petit jeux, les européennes s'en sortent un peu mieux, et continuent benoitement a cultiver leur féminité.
Ici, ce n'est plus le cas, et le résultat, c'est le bordel.
Malgré une présence religieuse qui frise le fanatisme généralisé, le taux de divorce est impressionnant et je ne connais AUCUN américain(e), enfin Kentuckian, de plus de quarante ans qui ne se soit marié qu'une fois et vive toujours avec son élu(e).
Le brouillage des caractères sexuels et la confusion qu'il entraine ne sont d'ailleurs, je pense, pas étranger au traditionalisme ambiant. Je sais pas si vous avez remarqué, mais les neocons font une fixette sur l'homosexualité, alors que les exemples de télévangélistes ou politiciens républicains retrouvés dans des positions extravagantes avec de jeunes hommes musculeux sont légion. Cette haine affichée du pédé tient lieu de grigri, et est la dernière balustrade a laquelle s'accrocher avant de se faire enfiler par un marin grec. Je vous le dit, l'homme est ici en perdition, se raccroche comme il peut a des doctrines plus rigides que sa queue, qualifie tout ce qui est faible ou ridicule de "gay", et se retrouve a sucer du brésilien. Evidement, ça fait pas un peu chier Madame, mais après tout, elle l'a bien cherché.
Alors, toi, amie lectrice francophone, continue à acheter des crèmes de jouvence ridicules a un prix exorbitant, continue à courir les soldes dans tes petites chaussures à talons qui te font mal aux pieds, continue à sourire au flic qui te dresse un PV (et d'ailleurs, continue à conduire comme une tortue aveugle), et puis arrête de casser les noix a ton conjoint, il en va de la survie de l'espèce.